Paul-Marie Musnier a été étudiant à l'ICES en droit entre 2002 et 2005 et très engagé notamment dans le BDE. Il a poursuivi ses études pour devenir commissaire-priseur. Aujourd'hui, il est commissaire-priseur indépendant pour le leader des ventes aux enchères à Drouot dans la région Grand Ouest et il raconte dans cette interview son parcours et ses meilleurs souvenirs à l'ICES.
Son parcours universitaire et professionel
Arrivé à l’ICES en 2002, Paul-Marie Musnier étudie le droit privé. Il passe sa première année de licence au foyer Sainte-Thérèse, dont il crée d'ailleurs le logo. Membre actif du BDE, il organise deux Galas à l’ICES, et capitaine de l’équipe de rugby de l’ICES, il est très fier de voir son équipe rejoindre la fédération universitaire.
Paul-Marie poursuit ses études avec une maîtrise de droit des affaires à Paris 5 Descartes, durant laquelle il part en Erasmus à l' “Universidad Autónoma de Madrid” en Espagne, puis un Master 2 Gestion Banque Finance option entrepreneuriat à Paris 5 Descartes.
Pour devenir commissaire-priseur, il étudie l’Histoire de l’art en licence 2 et 3 à la Sorbonne Paris 1 Tolbiac puis la Sorbonne Paris 4 Michelet. Après avoir réussi les examens de commissaire-priseur volontaire et judiciaire, il réalise plusieurs stages de commissaire-priseur chez Tajan, Christie's, Drouot mais aussi en régions dans le Centre et le Sud de la France.
Après l’obtention de son diplôme, il décide de faire une pause dans sa carrière professionnelle. Il se tourne vers la restauration de bâtiments anciens en Sologne. Il reprend finalement son activité de commissaire-priseur en travaillant pour la télévision et M6, notamment dans l’émission « un trésor dans votre maison » puis devient associé dans une étude à Drouot pendant 8 ans. Aujourd'hui il exerce comme indépendant pour le leader des ventes aux enchères à Drouot dans la région Grand Ouest.
Quel est votre meilleur souvenir de l'ICES ? Et pourquoi avoir choisi cette université ?
« J’avais choisi l’ICES pour le cadre qui me semblait idéal pour s’épanouir, cela rassurait aussi mon père de me savoir au foyer Sainte Thérèse… Les années suivantes d’étude à Paris m’ont vraiment démontré que nous avions raison !
Mon meilleur souvenir est la LIBERTÉ de manière générale que m’a offerte mes études à l’ICES :
- La liberté intellectuelle des enseignants qui nous offrent des clefs et des armes pour comprendre et affronter le monde d’aujourd’hui,
- L’accès facile à une magnifique bibliothèque à ses livres et à ses nombreux périodiques,
- La liberté de sorties entre étudiants dans une ville calme,
- La liberté de faire des activités extrascolaires comme le rugby et les responsabilités dans le BDE,
- La liberté et la richesse d’être un jeune chrétien.
- La liberté d’avoir une vie étudiante enrichissante »
Quel conseil donneriez-vous aux étudiants ?
« Je leur conseillerais de lire, de s’informer, de débattre, de toujours confronter leurs idées, d’être curieux et positifs ! Mais aussi de travailler tout en restant eux-même, de ne pas avoir peur ! Les amitiés faites à l’ICES sont profondes et pérennes, les liens entre icessiens sont forts, cultivez-les. »
Propos recueillis par Marie Roblot, responsable du réseau des anciens