Après son passage à l'ICES, Pierre Vitali (promo 2017) exerce aujourd'hui au Sénat en tant que conseiller législatif. Il nous raconte son parcours.
Quel est ton parcours professionnel ?
J’ai intégré en septembre 2017 l’ICES, pour une licence de Science Politique, option journalisme et communication. J’ai réalisé un semestre Erasmus à l’Université Peter Pazmany de Budapest en Hongrie.
Fort des enseignements de cette licence, j’ai ensuite intégré le Master d’Affaires Publiques et Communication Politique de l’Université Paris Saclay, en partenariat avec Sciences Po Saint-Germain-en-Laye. J’ai réalisé ce master en alternance au sein des services affaires publiques et communication de la Fédération Nationale d’Exploitants Agricoles (FNSEA) à Paris.
Après cette expérience universitaire et professionnelle, j’ai rejoint le Sénat où je suis Conseiller législatif pour le groupe LR, en charge de la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable.
Quel est ton meilleur souvenir à l’ICES ? Et pourquoi avoir choisi cette université ?
Pour paraphraser le scribe dans Astérix et Obélix, je dirais : « Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bon ou de meilleur souvenir. Moi, si je devais résumer ma vie à l’ICES avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres… »
Derrière cette touche d’humour, je crois vraiment que la force de l’ICES réside dans cette ambiance de promo. Je garde de l’ICES des amitiés solides, des rencontres sincères et un véritable esprit de cohésion. Cela se vérifiait aussi bien dans les cours, les TD que dans les soirées étudiantes et surtout les associations. Les meilleurs souvenirs seront alors sans doute liés en grande partie à l’association Politeia, que j’ai eu l’honneur de présider, et qui nous a tous réuni dans des débats, évènements et soirées, permettant pleinement de contribuer à la cohésion et de perpétuer l’esprit de l’ICES.
Quel conseil donnerais-tu aux étudiants ?
Il faut profiter de la liberté et de la vie associative de l’ICES :
Profiter de la liberté d’enseignement, que l’on retrouve difficilement dans d’autres universités. Cette liberté est essentielle dans un cursus universitaire pour nous donner une véritable compréhension de la société et une grande ouverture d’esprit sur le monde qui nous entoure. C’est grâce à la qualité des universitaires et des intervenants, et à la proximité avec eux, que nous pouvons pleinement vivre cette liberté d’enseignement. Profiter de la vie associative, pour prolonger le travail universitaire et développer des compétences humaines et sociales, qui sont de vrais atouts dans la vie professionnelle. C’est une chance d’avoir une diversité d’associations qui ont la confiance de l’université, il faut la saisir pour se former autrement. L’université nous donne des outils que nous devons saisir pour se former scolairement et surtout humainement.